NOS SERVICES

L’abattage simple ou « abattage simple » ou « traditionnel par chute » consiste à étudier les différents facteurs qui entrent en jeu et qui influencent l’abattage, ceci afin d’obtenir une chute contrôlée de l’arbre. Par exemple : inclinaison de l’arbre, courbure du tronc, forme de la couronne, longueur et diamètre du tronc, défauts pathologiques, présence de branches mortes, le vent, le gel, la neige, la topographie du lieu d’abattage, les obstacles présents dans la direction de la chute, …

Nous procédons par la réalisation d’une entaille directionnelle puis d’un trait d’abattage qui fait chuter l’arbre dans la direction voulue.

Au besoin (pour des arbres penchés par exemple), nous utilisons des moyens mécaniques comme un treuil ou des coins d’abattage, dans le but d’assurer la meilleure chute possible.

Certaines communes se montrent très restrictives concernant l’abattage. Elles vous demanderont la transmission d’un dossier complet permettant de statuer sur l’autorisation d’abattage de votre arbre ou non (essence, envoi d’un garde forestier pour analyse, réalisation de photos, calcul de distance entre l’arbre et la voirie, …). Nous vous conseillons de vous renseigner auprès de vos autorités communales concernant les dispositions à prendre.

L’objectif de la taille raisonnée est d’atteindre un équilibre optimal entre vos désirs et la physiologie de l’arbre. Ce compromis permet de pallier une gêne, tout en évitant les conséquences désastreuses d’une intervention trop rude.

En aucun cas la forme naturelle de l’arbre ne doit être modifiée, maltraiter un arbre est source de problèmes futurs, votre arbre devra puiser dans ses réserves et s’affaiblira, à terme, un dépérissement total de l’arbre donnera lieu à une intervention d’abattage qui sera très coûteuse.

L’arboriste grimpeur travaille sur du vivant, ce qui demande une grande attention dans la qualité et la précision des gestes afin de préserver la pérennité de l’arbre.

L’arbre fonctionne comme un réseau : un circuit continu parcouru par la sève depuis les racines et le tronc jusqu’à l’extrémité de la plus fine brindille. Il est important de ne pas interrompre ce circuit n’importe où, de ne pas couper les branches ou les brindilles en plein milieu, sous peine de provoquer des “fuites” ! Nous taillons toujours un rameau au niveau de son insertion sur le réseau, sans laisser de chicot, qui ferait une excellente porte d’entrée pour les microorganismes en tous genres, et sans entamer la branche support. Il faut couper juste à la jonction, tailler chaque rameau comme pour le “débrancher” du circuit (comme cela se produit naturellement pour le bois mort). Nous évitons les grosses coupes, car chaque plaie de taille est une porte ouverte aux microorganismes qui menacent le bois. La cicatrisation de ces blessures prend un certain temps, plus ou moins long, pendant lequel le bois est attaqué par la pourriture. Il n’est que de regarder les platanes au bord des routes, pour voir comment les élagages excessifs aboutissent à des trous béants impossibles à refermer. Alors, nous ne taillons pas trop gros, et vos arbres vivront plus vieux.

L’abattage simple ou « abattage simple » ou « traditionnel par chute » consiste à étudier les différents facteurs qui entrent en jeu et qui influencent l’abattage, ceci afin d’obtenir une chute contrôlée de l’arbre. Par exemple : inclinaison de l’arbre, courbure du tronc, forme de la couronne, longueur et diamètre du tronc, défauts pathologiques, présence de branches mortes, le vent, le gel, la neige, la topographie du lieu d’abattage, les obstacles présents dans la direction de la chute, …

Nous procédons par la réalisation d’une entaille directionnelle puis d’un trait d’abattage qui fait chuter l’arbre dans la direction voulue.

Au besoin (pour des arbres penchés par exemple), nous utilisons des moyens mécaniques comme un treuil ou des coins d’abattage, dans le but d’assurer la meilleure chute possible.

Certaines communes se montrent très restrictives concernant l’abattage. Elles vous demanderont la transmission d’un dossier complet permettant de statuer sur l’autorisation d’abattage de votre arbre ou non (essence, envoi d’un garde forestier pour analyse, réalisation de photos, calcul de distance entre l’arbre et la voirie, …). Nous vous conseillons de vous renseigner auprès de vos autorités communales concernant les dispositions à prendre.

Dans le cas d’arbres mal placés (dans des jardins exigus par exemple, ou se trouvant à proximité d’étang d’agrément, au-dessus de toiture, au-dessus d’infrastructures, …), le démontage par grimpeur consiste à retirer tout ou partie de la couronne de l’arbre avant de l’abattre, ou de débiter entièrement l’arbre verticalement en billons lorsque l’abattage en une seule fois est impossible.

Pour ce faire, nous disposons de techniques spécifiques, de matériel adaptés (griffes, cordes, …) et de matériel de rétention permettant de retenir les grosses charpentières dans leur chute, ceci afin d’écarter tout risque de dégâts sur votre propriété et sur les biens de vos voisins (clôtures, lampadaires, toit, …).

Soucieux de l’environnement, toutes nos tronçonneuses sont des modèles récents, émettant moins de rejets de CO. Nous mettons un point d’honneur à renouveler régulièrement notre parc de machines de jardin pour diminuer notre empreinte carbone.

Nous utilisons de l’huile de chaîne biodégradable formulée à partir d’huile de Colza et d’additifs biodégradables à plus de 99,5%.

L’objectif de la taille raisonnée est d’atteindre un équilibre optimal entre vos désirs et la physiologie de l’arbre. Ce compromis permet de pallier une gêne, tout en évitant les conséquences désastreuses d’une intervention trop rude.

En aucun cas la forme naturelle de l’arbre ne doit être modifiée, maltraiter un arbre est source de problèmes futurs, votre arbre devra puiser dans ses réserves et s’affaiblira, à terme, un dépérissement total de l’arbre donnera lieu à une intervention d’abattage qui sera très coûteuse.

L’arboriste grimpeur travaille sur du vivant, ce qui demande une grande attention dans la qualité et la précision des gestes afin de préserver la pérennité de l’arbre.

L’arbre fonctionne comme un réseau : un circuit continu parcouru par la sève depuis les racines et le tronc jusqu’à l’extrémité de la plus fine brindille. Il est important de ne pas interrompre ce circuit n’importe où, de ne pas couper les branches ou les brindilles en plein milieu, sous peine de provoquer des “fuites” ! Nous taillons toujours un rameau au niveau de son insertion sur le réseau, sans laisser de chicot, qui ferait une excellente porte d’entrée pour les microorganismes en tous genres, et sans entamer la branche support. Il faut couper juste à la jonction, tailler chaque rameau comme pour le “débrancher” du circuit (comme cela se produit naturellement pour le bois mort). Nous évitons les grosses coupes, car chaque plaie de taille est une porte ouverte aux microorganismes qui menacent le bois. La cicatrisation de ces blessures prend un certain temps, plus ou moins long, pendant lequel le bois est attaqué par la pourriture. Il n’est que de regarder les platanes au bord des routes, pour voir comment les élagages excessifs aboutissent à des trous béants impossibles à refermer. Alors, nous ne taillons pas trop gros, et vos arbres vivront plus vieux.

La rogneuse de souche grignote petit à petit la souche jusqu’à des profondeurs comprises entre 30 cms et 60 cms dans le sol. Les copeaux (résultant du déchiquetage de la souche) sont mélangés à la terre et laissés sur place pour être mieux dégradés. 81 cms de passage minimum sont nécessaires pour le passage d’un tel engin.

Le treuil (type Tirfor©) est utilisé pour les souches de petit diamètre (30 cms max selon l’essence) dans des jardins qui ne permettent pas l’accès à une rogneuse thermique.

Largeur de passage nécessaire : 120 cms

Nous pouvons refendre directement sur place, à la longueur désirée, votre arbre fraîchement abattu.

Largeur de passage nécessaire : 120 cms

Nous pouvons refendre directement sur place, à la longueur désirée, votre arbre fraîchement abattu.

Nous proposons également le broyage par utilisation de modèles moins encombrants : GTM GTS1300 sur roue nécessitant 78 cms de passage mais également Eliet CrossCountry sur chenille nécessitant 84 cms de passage.

En fonction de votre budget, nous proposons l’étalement du BRF (bois raméal fragmenté) sur une partie déterminée de votre terrain (diminution des frais d’enlèvement) ou l’évacuation par remorque ou par conteneur de vos déchets verts broyés.

Nous vous apportons des solutions à vos problèmes de pelouses endommagées, envahies par le trèfle, le pissenlit, le chardon ou autre « indésirables ».

Votre pelouse est ravagée par la mousse ? Ou êtes-vous soucieux de conserver un gazon bien vert ? Nous assurons également en début et fin de saison (mars et octobre) la scarification de votre pelouse grâce à un scarificateur émousseur à couteaux mobiles pour une efficacité et un résultat accru.

Il s’agit d’une action mécanique visant à débarrasser votre gazon de la mousse ou de la feutrine qui s’est créée pendant l’automne et l’hiver. Ceci a pour but de permettre aux rayons du soleil d’atteindre la base des brins d’herbe, et ainsi obtenir un gazon en meilleure santé et donc plus vert.

Contre la mousse envahissante, des solutions existent comme le chaulage de la pelouse (visant à diminuer l’acidité du sol par dispersion de billes de chaux) ce qui stimule la croissance de l’herbe et freine celle de la mousse. La chaux favorise aussi l’assimilation des engrais par l’herbe, ce qui résulte en un tapis plus vert, plus dru et plus sain.

Lutter contre l’acidification du sol : le sol peut s’acidifier sous l’effet des pluies acides ou par le processus naturel du compostage des déchets de tonte et des feuilles. Lors du compostage, ces éléments libèrent des acides qui pénètrent dans le sol. C’est pourquoi il est important de toujours enlever les feuilles mortes de la pelouse en automne et en hiver.